Rapports fournisseurs ? distributeurs, nouvelles stratégies, modes de coopération, contexte concurrentiel, stratégies coopératives, category management, secteur de la distribution, marques de distributeurs, MDD, GMS, stratégies de collaboration, Gestion Partagée des Approvisionnements, automatisation des réassorts, planification des ventes, secteur de la distribution
La distribution représente plus que jamais une fonction centrale du secteur économique, politique et juridique. Comme nous pouvons le voir actuellement avec le téléchargement de fichier audio et vidéo la maîtrise de ce canal est indispensable.
En un demi siècle, le secteur de la distribution est devenu un pilier majeur de l'économie. Il emploie aujourd'hui 640 000 personnes en France, ce secteur est donc l'un des plus grands recruteurs du pays. Chaque année, il recrute près de 80 000 nouveaux collaborateurs. Selon Linéaire, il représente en France plus de 177 milliards d'euro en 2006.
Selon l'analyse économique des marques de distributeurs (2001, p1-4), les grandes et moyennes surfaces (GMS) par leur force marketing et commerciale ont sût conquérir plus de 60% de l'ensemble du marché des produits alimentaires des français soit 90% du marché des produits alimentaires en grande surface et plus de 40% des dépenses non alimentaires.
[...] Le CM et plus largement l'ECR ont l'avantage de réunir industriels et distributeurs dans le cadre de projets communs. Nous passons ainsi de l'affrontement à la collaboration sur des sujets d'intérêt commun. II.4) Une collaboration indispensable La gestion par la catégorie nécessite une coopération entre distributeurs et fournisseurs. Auparavant, le rapport entre les deux acteurs était continuellement tendu, les protagonistes se considéraient comme des adversaires. Avec le CM, le fournisseur doit être objectif puisque le leader est considéré comme un capitaine de catégorie. [...]
[...] Dupuis p501) Selon Marc Benoun, il est difficile de donner une définition du CM dans la mesure où les entreprises qui le pratiquent y agrègent des contenus distincts. En effet, le CM peut recouvrir des réalités différentes, selon le distributeur ou le fabricant. Nous pouvons cependant affirmer qu' opérationnellement ce processus consiste à penser comme le client en considérant les catégories comme des entités stratégiques. Donc, l'aboutissement est the right product, at the right place, at the right time. II.2) Un processus en sept étapes Suivant les auteurs, le nombre et les intitulés des étapes varient. [...]
[...] Selon le même auteur, cette utilisation d'échanges permet de diminuer les coûts administratifs de passation de commandes. I.3) Les indicateurs de performance dans le tableau de bord Une série d'indicateurs doit être mise en place pour mesurer les objectifs à atteindre. I.3)1 Le taux de service Il représente un objectif de satisfaction des commandes du client par le fournisseur. Cette ration est utilisée pour déterminer le stock de sécurité. Ce taux est «l'un des objectifs les plus difficiles à définir et à atteindre.» (J. [...]
[...] Benoun p160) Or, vu les faibles coûts de structure des magasins discount, les GMS semblent ne pas être en mesure de les concurrencer. En plus de coûts, il semblerait aussi que les besoins primaires des consommateurs semblent satisfaits. Il faut donc chercher à se spécialiser. II.1)2 La stratégie de spécialisation conduit l'entreprise à centraliser ses activités dans un domaine précis. En se recentrant sur un groupe de consommateurs vis-à-vis duquel elle va tenter de créer un avantage concurrentiel. La stratégie de spécialisation peut être au niveau technologique c'est le cas d'une entreprise qui possède un savoir-faire technologique qu'elle exploite pour fabriquer divers produits, sans liens apparents. [...]
[...] Cette question a pour but de déterminer quels sont les apports de la gestion de la relation fournisseurs par les outils détaillés précédemment. (Confère annexe V p.IX) Il apparaît que les bénéfices relevés sont les augmentations du chiffre d'affaires, du taux de rotation de stocks. De manière moins majoritaire, la fidélisation des clients finaux et l'accroissement de l'efficacité sont soulevés. La diminution des stocks, la réduction des coûts et l'optimisation des achats ne semblent pas être influencées par les méthodes et outils collaboratifs. [...]
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