Le lancement d'une nouvelle bière

Extraits

[...] Conclusion : La bière K est chère : c'est une innovation ! C'est la première à être sans amertume désaltérante tout en gardant un degré alcoolique semblable a une bière de luxe. Le prix correspond donc aux contraintes vues auparavant : - elle a respecté les attentes du consommateur en visant les femmes ; - elle garde une compétitivité par rapport aux autres marques du fait de son prix élevé ; - le consommateur appréciera la valeur de la bière K car elle est en accord avec son prix. [...]

[...] Les spécialités quant à elles couvrent selon les régions plusieurs degrés d'alcool. Le deuxième classe les bières selon leur finalité, pour les bières de luxe on va parler de désaltération et pour les bières spéciales ou les spécialités il va s'agir de dégustation. Ces classifications permettent notamment d'appliquer des prix différents car l'attente pour le consommateur n'est pas la même Le Ciblage Si l'on retient le critère de la technicité, on se rend compte que les Brasseries Kronembourg sont présentes partout, elles ont décidé de cibler tous les segments du marché de la bière (exemple: Kronenbourg chez les luxe chez les spéciales, Guiness chez les spécialités, Tourtel chez les sans alcool, Force 4 chez les panachés). [...]

[...] Kronenbourg veut une bière désaltérante plus actuelle. Le prix de vente va être abaissé de façon à creuser l'écart de prix entre les deux marques du groupe : l'objectif est de 15%. On remarquera une progression de la Kronenbourg dans le rayon des Luxes : + de gain de part de marché. Le prix a été fixé à 21F les 10 bouteilles de 25cl soit 8F40 le litre. Cette bière est chère pour différentes raisons : -c'est une bière qui fait partie de la gamme des Luxes, son prix doit être conséquent. [...]

[...] Leur côté exotique attire les consommateurs les moins fidèles qui trouvent un côté vieilli aux grandes marques bien implantées sur le marché comme Heineken. En France, en millions de litres de bières étrangères ont été importés. - L'écart moyen premier prix/marques est beaucoup trop important. La bière n'est pas une boisson inaccessible, mais au contraire une boisson populaire. L'écart de prix peut donc profiter aux marques de distributeur, ce qui serait mauvais pour l'entreprise. - La montée des soft drinks peut aussi être considérée comme une menace. Ces boissons connaissent un effet de mode et sont poussées par des campagnes publicitaires intensives. [...]

[...] Ici la gamme est la bière. FAIBLESSES : - L'image de la marque est vieillissante et Kronenbourg devient une marque basique Elle a moins d'attrait de par son côté vieillissant. - Il n'y a pas assez de distinction entre Kronenbourg et Kanterbreau. Bien que les deux marques appartiennent aux mêmes brasseries, leur positionnement n'est plus assez différencié, ce qui peut perturber le consommateur. - Enfin, une troisième faiblesse qui n'en est pas vraiment une est que nous disposons de 25 marques, ce qui peut être lourd à gérer. [...]