Lien social, grandes industries françaises, chaîne de valeur, architecture sociale, capital intellectuel, compétences comportementales, mondialisation, nouvelles technologies, changements sociétaux, nouveaux modes de vie
Une entreprise est avant tout une chaîne de valeur dont la finalité est le résultat. Cette chaîne de valeur ne peut être activée que par l'Homme et ses compétences. Quand nous parlons de replacer l'Homme dans la chaîne, cela signifie de définir sa place dans l'organisation, mais aussi de lui indiquer sa contribution dans la chaîne de valeur, vers le résultat. Mon ambition, à travers ce mémoire, est de démontrer qu'il est nécessaire de replacer l'Homme au cœur du système dans les grandes entreprises industrielles. Par cette étude, je veux donc prouver que le développement du lien social en vue d'une ambition sociale est nécessaire à l'entreprise pour être compétitive et pour qu'elle relève les nombreux défis qui lui font face.
Autrement dit : la mission des Ressources Humaines n'est-elle pas d'intégrer l'Homme dans la chaîne de valeur pour lui redonner un sentiment d'appartenance à un avenir collectif et ainsi garantir un effort collectif en vue de la réalisation du projet d'entreprise. Si oui, comment peut-elle faire ?
[...] Mesurer le lien social dans l'entreprise : la mesure de départ 22 A. L'état des lieux L'entreprise : La population de l'entreprise : La culture d'entreprise 24 B. La vision d'entreprise, sa politique sociale et les pratiques : diagnostic 26 II. Définir son plan d'action à travers sa politique sociale 32 A. Les différents niveaux de mise en œuvre Vie quotidienne Actions ponctuelles 36 B. Choisir ses actions 37 III. Développer le lien social dans l'entreprise 39 A. Les acteurs du lien social La direction : donner une impulsion Les Ressources Humaines : la cohérence entre message et pratiques L'encadrement : la proximité Les Instances Représentatives du Personnel : un partenaire La qualité : un processus 44 B. [...]
[...] Les dirigeants croient effectivement que les salariés veulent être productifs et les encouragent à participer au développement de l'entreprise. Les employés sont enthousiastes et passionnés par leur travail et la mission de leur entreprise. Un environnement dominé par la confiance engendre des interactions positives (collaboration et coopération), une productivité accrue et une meilleure rentabilité. Le cabinet étudie la qualité d'un lieu de travail au travers de trois modes de relations liés entre eux : La relation entre les salariés et les dirigeants. [...]
[...] Une partie devra être consacrée à l'apport à titre personnel de l'évènement. Ce questionnaire sera un premier élément démontrant la réussite de l'évènement. Mais comment mesurer la réussite ou non d'une meilleure communication interne, d'actions quotidiennes ? Et comment mesurer l'impact de ces actions dans la performance de l'entreprise ? M. A moyen et long terme : Des pilotes sans tableaux de bord sont aveugles. Bernard Martory. La mise en place, l'enrichissement ou l'exploitation du système de pilotage social de l'entreprise est encore l'une des meilleures solutions. [...]
[...] Savoir servir le client c'est savoir travailler son relationnel ce qui apporte une approche bien plus humaine des équipes. Le contact client quotidien influe sur l'esprit de l'entreprise. De même, l'activité irrégulière de la restauration autoroutière oblige les équipes à une réelle solidarité pour arriver à gérer les afflux de clients. Pour les entreprises industrielles bien plus que pour le service, les possibilités d'identification sont plus fortes. Prenons l'exemple d'Airbus : l'avion conçu, fabriqué, vendu, livré, rapproche les hommes par le simple fait que chacun voit le produit, le comprend et qu'il a le sentiment à travers ce produit de relever un challenge (compétition avec Boeing), d'être utile à la société Ici l'identité au travail se dessine à travers le produit. [...]
[...] Ils attendent de leur DRH une prise en compte de leurs aspirations personnelles. Les résignés : ils se sentent exclus de la stratégie d'entreprise, ils n'ont plus ni attentes, ni espoirs, et ne croient plus dans le collectif ni d'entreprise, ni syndical. La solution que je propose et qui me semble la mieux adaptée à l'ensemble de ces comportements est de revisiter le lien social : il ne s'agit pas de vouloir à nouveau créer une entreprise affective avec un fort sentiment d'appartenance et des salariés s'impliquant au maximum pour leur entreprise. [...]
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